Pourquoi passer par l'émotionnel pour libération le corps de poids physique ?

Kilos émotionnels Le Mans

Le poids, l'image du corps sont-ils des défis pour vous ?

Aux essayistes déçues des régimes variés, des cures minceur en institut, des pratiques de sport appliqué (avec plus ou moins de plaisir), sans perception de résultat.

À celles dont le corps semble ne rien stocker et qui entendent parfois « qu’elle est maigre ! » 

Nous vivons depuis des décennies dans un monde qui prône la culture du corps parfait. À en croire le marketing toujours aussi fleurissant années après années, bon nombre de personnes font face à d’intenses sentiments en lien avec le poids et l’aspect physique : culpabilité, perfectionnisme, sentiment de rejet, de honte, tristesse, etc.

Que faites-vous de cette accumulation d’émotions facilement identifiables ? Savez-vous que la réponse métabolique du corps ne résulte pas que de bonnes habitudes alimentaires et sportives, mais aussi du stress interne ? Connaissez-vous la possibilité d’interroger votre mémoire cellulaire, votre histoire transgénérationnelle et transpersonnelle ?

Définition des kilos émotionnels

Ils se définissent par une réponse corporelle (stocker – ne pas stocker, particulièrement les glucides et les lipides) résultant de choix plus ou moins inconscients (manger « trop » ou rester sédentaire par exemple) face aux émotions inconfortables et récurrentes.

Concrètement, une pensée telle que « je ne vais pas y arriver » va pouvoir déclencher une action de compulsion alimentaire pour apaiser le stress induit par cette pensée. Je ne parle pas ici de crises liées aux troubles compulsifs alimentaires (TCA), mais de grignotages réguliers ayant des conséquences sur le métabolisme (souvent riche en sucres et en graisses, même bien dissimulés) et l‘image de soi.

Ainsi, la nourriture fonctionne ici comme un système d’autosatisfaction, quand on veut éviter de penser, on mange, mais cela peut aussi être vrai quand on va bien, dans ce cas le « flow » ressenti passe par les aliments, et donc, à chaque fois que l’on est bien, on mange.

Pour faire la paix avec son corps, reprendre du pouvoir sur sa vie et gagner en confiance en soi.
Pour atteindre un niveau de bien-être permettant de se libérer du stress chronique et atteindre vos objectifs esthétiques dans la douceur

Travailler sur ses pensées alors ? C'est si simple ?

Oui, et non.
 
Oui, les thérapies cognitivo-comportementales (TCC), la programmation neurolinguistique (PNL) ont de bons résultats sur les processus cognitifs (« je comprends », « je mets en place des actions qui viennent court-circuiter mes pensées négatives » par exemple).
 
Non, quand malgré tout, les résultats ne « tiennent pas dans le temps ». C’est là que les pratiques psychocorporelles, énergétiques et quantiques peuvent intervenir pour se libérer des kilos émotionnelsLe but est de passer de « je sais, je comprends » à « j’intègre, je me libère ». 

Ainsi, des schémas de pensées répétitifs et astreignantes peuvent venir de mémoires corporelles et inconscientes telles que les mémoires émotionnelles in utéro, les croyances familiales et sociétales, les traumatismes physiques et psychiques, mémoires transpersonnelles (karmiques, mémoires d’âme), de séquelles de chocs, de sensibilité aux substances et aux ondes…

Se libérer des poids émotionnels par le corps : comment ça se passe au Premier Lieu ?

Nous commençons par faire le tour de votre histoire.

Je vous demande, par exemple, depuis quand ce poids s’est installé, ce que vous vous dites à propos de « ça », quels sont vos objectifs, si vous avez consulté un médecin pour exclure certaines pathologies, ou si au contraire, vous venez en support d’un suivi médical.

Étant infirmière de formation initiale, j’ai une lecture holistique de votre récit. Je n’exclus ni l’allopathie, ni la psychologie, ni les pratiques dites naturelles, ni l’énergétique. Je suis formée à travailler en pluridisciplinarité et je peux être amenée à travailler en complément d’un suivi médical, ou à rediriger quand cela me semble nécessaire (s’il y a un doute sur une pathologie endocrinienne par exemple, dans le cadre d’un défi de perte ou prise de poids).

Une fois vos objectifs et vos problématiques déposés (pouvant être émotionnelles en lien avec le poids, un chiffre sur la balance sur lequel vous bloquez, un objectif de mieux être de type « je veux me sentir plus légère et donc confiante« , etc.), je vous propose plusieurs outils.

J’interroge toujours votre corps à travers le test de réponse musculaire afin de pointer une ou des origine.s du trouble ou de l’objectif non atteint.
On passe ensuite par la répétition orale, par les ressentis corporels, l’énergétique et la symbolique pour libérer le corps des origines débusquées.

Je travaille à partir de vos ressentis et de ce que j’observe de votre posture, de vos mots, des lapsus, des idées connexes qui émergent.

Je travaille aussi avec le magnétisme de mes mains, avec ou sans notion de massage ou de drainage associé.
En symbolique, je peux être amenée à vous proposer des cartes (oracles, cartes des archétypes de C.G. Jund) et actes symboliques (écrire, couper, parler, bouger en douceur pour réassurer le corps).

Quand vais-je commencer à perdre du poids grâce aux approches psychocorporelles ?

C’est une question que beaucoup de femmes me posent, souvent avec espoir. Fatiguées d’avoir essayé tous les programmes, toutes les méthodes “miracles” qui promettaient des résultats rapides — mais qui laissaient un vide, une culpabilité, ou le sentiment d’échec en retour.

Derrière cette quête de perte de poids, il y a souvent bien plus : la peur de ne pas être aimée, de ne pas être assez, de ne jamais y arriver. Il y a des blessures anciennes, des mémoires qui parlent à travers le corps, parfois même des loyautés invisibles à l’histoire familiale. Il peut également y avoir des bénéfices secondaires, autour de l’identité ou la protection.

Les approches psychocorporelles et énergétiques ne viennent pas imposer une solution de plus. Elles vous accompagnent vers une reconnexion à vous-même. Ici, on ne cherche pas à contrôler ou à forcer le corps, mais à l’écouter, à libérer ce qui l’alourdit émotionnellement, énergétiquement. C’est un chemin de retour à votre souveraineté, à votre vérité intérieure.

La perte de poids, si elle doit arriver, devient alors une conséquence naturelle d’un apaisement plus vaste : celui d’être enfin en sécurité dans son corps, et en paix avec son histoire.